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Développement durable
- Publié le 1 octobre 2019

Presqu'île nature : des essences qui ont du sens

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Rosiers arbustifs, romarin, sauges, géraniums vivaces, asters, arbousiers, magnolias, lilas des Indes : quelques-unes des essences que l’on peut désormais voir et sentir, parmi d’autres, rues Édouard- Herriot et de Brest, alors que le déploiement de la trame verte de l’opération Presqu’île nature se poursuit.

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Fleuries 10 mois sur 12, peu consommatrices d’eau et capables de résister aux fortes chaleurs, les plantes que l’on retrouve le long de ces 1 400 m sont emblématiques des nouveaux besoins urbains en matière de verdure.

Ces espaces veulent tout à la fois apporter du confort, de l’ombrage, à ceux qui déambulent dans les rues en créant une sorte de corridor végétal et améliorer le cadre de vie de la Presqu’île, là où l’implantation d’espaces verts est la plus contrainte par l’urbanisme.

Installés pour une expérimentation de 18 mois, ils seront remplacés par des plantations de pleine terre, en cas d’avis favorables liés au test. Ils rejoindraient alors les 450 ha d’espaces verts de Lyon ; dont la Tête d’Or, qui demeure le plus grand parc urbain intra-muros d’Europe avec ses 117 ha.

 

Faites défiler le diaporama pour tout savoir des végétaux utilisés en Presqu'île.

Colonne de droite 1

 

Dicton

Narcissus Joncquilla

 

Chic, l’automne arrive et, avec lui, le moment de planter les bulbes, comme autant de promesses d’un printemps fleuri. Jonquilles, narcisses et autres muscaris sont attendus en jardinières sur les balcons comme en jardins de rues. La période convient également aux vivaces comme les campanules, qui profiteront de l’hiver pour s’enraciner profondément. Et l’on n’oublie pas « qu’à la Sainte- Catherine, tout prend racine »…

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