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Culture
- Publié le 20 octobre 2023

Aidez le macLYON à acquérir River of no Return, une peinture de Sylvie Selig de 140m !

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Crédit photo : Sylvie Selig dans son atelier / photo Brigitte Bouillot

Le Musée d’art contemporain de Lyon souhaite faire entrer dans ses collections une immense toile de 140 mètres de long de Sylvie Selig. Cette œuvre est 3 fois plus grande que celle présentée par l’artiste à Fagor lors de la dernière Biennale d’art contemporain !
Pour recueillir une partie du montant de cette acquisition et la rendre possible en 2023, le macLYON lance une souscription publique ouverte jusqu’au 29 novembre 2023. 
Le montant visé de cette collecte en mécénat est de 100 000 €.

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Sylvie Selig repérée à l’occasion de la dernière Biennale d’art contemporain

Sylvie Selig a été repérée sur Instagram par Sam Bardaouil et Till Fellrath, les commissaires de la dernière Biennale de Lyon manifesto of Fragility (14 septembre – 31 décembre 2022). Ils l’ont rencontrée pendant qu’ils préparaient la Biennale et lui ont proposé d’exposer aux Usines Fagor la grande huile sur toile Stateless et les 28 personnages qui composent la Weird Family. 

L’œuvre que le macLYON souhaite acquérir - River of no Return

C’est en 2012 que Sylvie Selig débute River of no Return, une gigantesque peinture à l’huile sur toile évoquant l’odyssée de trois personnages sur une rivière et leurs rencontres avec l’art contemporain. L'artiste y a travaillé durant 3 années par fragments car son atelier ne lui permet pas de dérouler l’entièreté de la toile. L’œuvre n'est achevée qu'en 2015. 

"J’ai mis 3 ans pour la réaliser car avec la peinture à l’huile, le temps de séchage est très long. Il y a 140 références à l’art contemporain pour 140 mètres de toile. " Sylvie Selig

Sylvie Selig confie également n’avoir encore jamais vu l’œuvre dans son intégralité !
Avec ses 140 mètres de long et 2,20 mètres de haut, River of no Return est 3 fois plus grande que l’œuvre présentée par l’artiste lors de la dernière biennale.

Comment participer ?

Chacun à son niveau, quels que soient ses moyens, peut agir : en relayant et partageant ce projet d’acquisition pour le faire connaître et/ou en faisant un don à partir de 10€.
Le Musée d’art contemporain de Lyon doit réunir la somme de 140 000€ pour cette acquisition, c’est pourquoi a lancé une souscription publique sur la plateforme KissKissBankBank ouverte jusqu’au 29 novembre 2023 :
Participer par ici

Ce que le musée vous offre en retour

Pour vous remercier de votre générosité, le macLYON a imaginé des contreparties en lien avec le musée tels que des tote bag et autres goodies, des entrées et visites, des Cartes Musées, des catalogues, une master class de Sylvie Selig, un repas ou une visite guidée en compagnie de l’artiste et même une nuit au studio du macLYON…

Dès 20€ de don vous serez également mentionnés parmi les donateurs et assisterez à la soirée organisée pour découvrir l’œuvre au musée.

Vos dons permettent de prétendre à la déduction fiscale
Le Musée d’art contemporain de Lyon, reconnu d’intérêt général, est habilité à délivrer des reçus fiscaux, ce qui vous permet de bénéficier d’abattement d’impôt à hauteur de 66% de la somme donnée (60% pour les entreprises).
Par exemple un don de 20€ vous revient à un coût réel de 6€80 après déduction fiscale.

Quand pourrez-vous voir l’œuvre ?

Le macLYON prévoit une grande exposition Sylvie Selig à partir de mars 2024, dont l’œuvre River of no Return sera la pièce centrale !
Les donateurs (à partir de 20€) seront tous et toutes conviés à découvrir cette nouvelle acquisition lors d’une soirée exceptionnelle !

L’artiste Sylvie Selig

Sylvie Selig, qui a 82 ans, vit et travaille à Paris après avoir beaucoup voyagé.
Partie à 13 ans avec sa mère en Australie, elle y a suivi un cursus scolaire en anglais, d’où son goût pour cette langue. Elle a ensuite vécu à Londres, Paris et New York (où elle a travaillé comme illustratrice pour des magazines et de grands éditeurs tels que Esquire, New York Magazine, Condé Nast, Grove Press, Doubleday, etc.) avant de revenir à Paris. 
Elle a installé son atelier dans le quartier Pigalle depuis 28 ans et y crée opiniâtrement. 
Ses œuvres sont restées longtemps ignorées des grands circuits habituels de l’art.

Plus d’infos sur le site du Musée d’art contemporain

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